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Sara Herrera Peralta

Escritora. Graduada en Letras, Ciencias Humanas y Sociales y Máster en Literatura Comparada por la Sorbona

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« La broderie comme grande métaphore de la vie qui soulève des questions sur la littérature, l'art et la mémoire, avec une capacité suggestive inépuisable. La voix de ce roman et de ces poèmes est traversée par un air d'inquiétude générationnelle qui m'interpelle avec une insistance particulière ». -Nadal Suau, Babelia (El País).

« C'est l'un de ces moments où ce que nous appelons l'échec nous amène sur un rivage inattendu, mais l'un des nôtres (...). Une écrivaine-frontière, qui marche sur les lignes de démarcation, dans des livres qui ne veulent pas choisir une langue unique, un format simple, un thème unique ». -Alba Correa, VOGUE Espagne.

« Un témoignage vorace sur la force du fragile et la résistance qui habite l'art ». -Ainara Gómez, VEIN MAGAZINE.

« Sara Herrera Peralta sauve la production la plus méconnue de Louise Bourgeois pour établir un dialogue avec la célèbre artiste, mais aussi avec elle-même et avec tant d'autres femmes qui créent tout en élevant leurs enfants, en cousant un bouton ou en passant la serpillière » - Carolina Alba dans La estación azul de RNE.

« L'un des livres de la littérature contemporaine qu'il faut lire en 2025. Un roman sur le voyage, le déplacement, la peur et l'échec » -El Confidencial.

« Deux beaux livres, écrits avec luminosité, polyédriques (...). Un débat sur la maternité, sur la création, sur les limites et les frontières imposées » -Interview de Manuel Mateo Pérez dans « La mirada desatada » sur Canal Sur Radio.

+INFO

 

Salut ! Je m’appelle Sara Herrera Peralta. Je suis née à Trebujena (Espagne) en 1980 et j’ai vécu mon enfance à Jerez de la Frontera. Je vis actuellement dans une forêt, à côté d'un village de six cents habitants, dans le département du Lot, après avoir vécu dans différents pays européens, dans des villes telles que San Sebastian, Helsinki, Malaga, Paris, Londres et Toulouse. Je suis mère de deux (merveilleux) enfants et je travaille à temps plein, je lis, je cultive un potager, je m'occupe d'un jardin, j'élève des poules et parfois j'écris. J’ai publié treize recueils de poésie et deux romans. Mon recueil de poèmes précédent, Un mapa cómo (La Bella Varsovia, 2022), a reçu le prix Subirana de la meilleure édition, a été finaliste du XXIXe Prix de la Critique en Andalousie et du IIe Prix National de Poésie Ville de Churriana en Espagne, ainsi que sélectionné comme l'un des meilleurs livres de poésie publiés en Espagne en 2022 par le journal El Periódico et par les librairies indépendantes Letras Corsarias (Salamanca), El Agente Secreto (Úbeda), La Montaña Mágica (Cartagena) et Sputnik (León). Mon premier roman, Arroz Montevideo (La Isla de Siltolá, 2016), a été sélectionné lors de la 31e édition du Festival du premier roman de Chambéry (France) comme l'une des meilleures premières œuvres de l'année en espagnol. Mon œuvre poétique a reçu le Prix international de poésie jeunesse Martín García Ramos (pour De ida y vuelta), le Prix Ana de Valle (pour Provocatio) ou le Prix Carmen Conde (pour Documentum) et a été partiellement traduite en anglais, en français, en portugais, en italien et en espéranto. Mon travail a été partagé ou présenté dans des journaux comme El Mundo, El País, El Periódico de Catalogne, La Voz, El Ideal ou le magazine Vogue. Avec ma première nouvelle en français, Du lait, du fil, j’ai été été finaliste de la 27e édition du Prix Nouvelle de la Sorbonne en 2022. Mon travail littéraire est centré sur la mémoire intime et collective, la généalogie, le féminisme et la poésie sociale. Je m’intéresse à la dimension politique des textes littéraires et à la fragilité, ce qui se brise facilement, ainsi qu’au dialogue entre littérature et autres disciplines artistiques. Je suis titulaire d'une maîtrise en Arts, Lettres, Langues, Sciences Humaines et Sociales et d'un master en Littérature Générale et Comparée de l'Université de la Sorbonne-Nouvelle Paris 3. Le recueil de poèmes El piar de los pájaros y el goteo del agua que cae del techo (La Bella Varsovia, 2025), pour l'écriture duquel j'ai reçu une bourse de création littéraire de la Direction Générale du Livre et de la promotion de la Lecture du Ministère Espagnol de la Culture, et le roman Me fui como una tormenta (consonni, 2025) viennent d'être publiés. Ces deux livres font partie d'un projet commun sur lequel j'ai travaillé après un projet de recherche en Littérature Comparée à la Sorbonne-Nouvelle Paris 3 sur l'œuvre écrite et brodée de Louise Bourgeois.

 
 

Photo: Samuel Capdeville